L’âme qui parlait

Et si un jour toute l’eau salée installée dans ton corps s’échappe, tu inonderas le monde de ta peine

Le crépitement de sa cigarette lorsqu’elle inspire aussi doux que la fumée qu’elle recrache des ses poumons

Alors elles apparaissent de temps à autres ces petites étoiles, mais que quelques fois car le monde les a détruites 

C’était lui mais je n’étais pas la sienne et malheureusement je rêve du jour où il revienne, seulement je sais que ce jour je l’éviterai

J’attends le jour qui me fera m’en aller

C’était juste apaisant de savoir qu’on t’aimait pas seulement comme ami ou membre d’une famille, c’était différent de sa manière 

Ça semblait réel puis comme à chaque fois, ça a disparu quand j’ai commencé à libérer les choses qu’il ne faut finalement pas dire 

J’ai mal au cœur et ça veut plus s’arrêter.

Laurie

Initialement publié le 28/08/2018

Source de l’image d’accueil : Katrin Korfmann